Certains laïcs désirent partager l’idéal de vie chrétienne vécu par des instituts religieux. Ils leur demandent une forme de “rattachement”.
Laïcs associés des religieuses du Sacré-Coeur de Jésus, sur les pas de Madeleine-Sophie Barat à Paris
– certains, parce qu’ils souhaitent être aidés dans leur vie de prière quotidienne,
– certains parce qu’ils partagent un même désir de contribuer à l’effort de la société et de l’Eglise par des activités spécifiques : enseignement,santé, etc.
– d’autres parce qu’ils sont marqués par l’esprit du fondateur ou de la fondatrice de l’Institut religieux, la spiritualité, les engagements, … Tout en restant dans leur situation de laïcs, ils vivent, selon des modes divers, une fraternité humaine et spirituelle avec des religieux ou des religieuses.
Cette manière de vivre, pour des laïcs, prend de l’ampleur depuis quelques années. On emploie aussi l’expression de “famille évangélique” qui rassemble des chrétiens de vocations diverses (laïcs, religieux…) se référant à une même spiritualité (franciscaine, dominicaine, ignatienne,etc.)
Ressources :
– DELIZY Bernadette, Vers des familles évangéliques, Editions de l’Atelier, 2004.
– Service National des Vocations, « La vie religieuse », Jeunes et Vocations n°106, p. 17-19, 3e trim. 2002.
